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J’en étais aux dixièmes verres et j’avais la tête qui tournait. Je me sentais libre et décontracter. C’était de ça que j’avais eu besoin après avoir vu Lyssa à cette stupide fête d'Halloween. J’étais au milieu de la scène et me déhanchais en riant. Tout le monde était autour de moi et sifflait. Ma mini jupe taille haute mettait bien en valeur mes jambes. En plus de ça j’avais de grands talons noirs et un top blanc légèrement transparent avec un profond décolleter. Je me tournais vers un des hommes autour de moi et dansais très sensuellement avec lui. Nos deux corps étaient collés l’un un l’autre. Je m’approchais ensuite d’un des autres et dansais pareil qu’avec l’autre. Les autres continuaient à siffler. Je continuais à danser avec l’un, quand un autre me prit le visage et m’embrassait. Je lui rendais son baiser. J’en avais trois autour de moi et ça me plaisait. Je les embrassais à tour de rôle et dansais avec chacun d’eux. Un quatrième me tendit encore un verre que je bu directement. Je levais mes mains vers le haut et ne faisait bouger que mon ventre. Je me senti tiré vers l’arrière d’un coup par quelqu’un. C’était celui qui m’avait offert la onzième boisson. Il me plaqua contre le mur qui était tout proche et m’embrassait allant du cou jusqu’au décolleter. Ses mains baladeuses montaient de mes fesses à ma poitrine. J’en fermais les yeux. J’entendais les cris des autres et encore et encore des sifflements. Que je me fasse traiter ainsi ne me dérangeais pas. Au contraire, ca me plaisait. Je senti bientôt la langue de « l’autre », car bien sur je ne connaissais le nom d’aucun d’eux, dans ma bouche. Je l’attirais vers moi pour qu’on soit encore plus proche et posais mes mains dans ses cheveux. Tout en continuant à l’embrasser, je le tirais vers la piste de danse pour rejoindre les autres. Après un certain temps, je le lâchais et re-dansait avec les autres. Je me faisais tripoter de partout, mais peu importe. Enfin, si. Je préférais faire des choses plus sérieuses avec un seul. Je souris et pris le plus beau par le bras. Je le fixais et me mordais la lèvre inférieure. Je le tirais vers moi tout en reculant. Je savais qu’en faisant encore quelque pas, je me retrouverais dans un petit couloir qui menait vers les toilettes. Une fois entouré de mur et seuls, je le plaquai contre le mur et l’embrassais. Il nous retourna de sorte à ce que je sois contre le mur. Je posais alors mes jambes autour de ses hanches. Il m’avait déjà enlevé mon débardeur quand je senti une odeur qui ne devrait pas se trouver ici… .